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Biographie : Lydie Blaizot est née en 1973, dans la Manche, où elle vit toujours aux côtés de son mari.
Dès son plus jeune âge, elle se passionne pour la Fantasy, le Fantastique et la Science Fiction ; qu’elle découvre par hasard au détour d’un rayonnage de la bibliothèque municipale. Dans ses lectures, elle ne lâchera plus ces trois genres, sauf pour quelques excursions du côté du polar et de rares classiques (Shakespeare notamment). Adolescente, elle découvre le Moyen Age et, très vite, rêve de devenir professeur d’histoire médiévale.
Poussée dans un domaine d’études qui ne lui convenait pas du tout, Lydie a mis du temps à trouver sa voie. Sous l’impulsion de son mari, elle se décide à prendre la plume et, fan de Pratchett et Blaylock, aime écrire des romans servis par une bonne dose d’humour et des personnages hauts en couleurs.
Bibliographie :
Romans & novellas :
- Le Facteur 119, aux éditions Voy’el
- N.I.X, aux éditions Voy’el
- Le Prévôt, auto-édition chez Lulu.com
- Les mésaventures de Tévrémencon, auto-édition chez Lulu.com
Nouvelles :
- L’Héritage, dans Voyages aux frontières du réel, PGCOM Editions
- Happy Halloween ! dans Hommage à Sir Terence, La Porte Littéraire
- Paranoïa Aiguë, dans Les robots sont-ils vraiment nos amis ?, éditions Voy’el
Romans, recueil et novella parus aux éditions du Petit Caveau : La Maison de Londres, Autour de Londres, Sang d’Ocre (six épisodes), Ladainian Abernaker, Nuits ensorcelées
Nouvelle parue aux éditions du Petit Caveau : « Noblesse d’âme » dans l’anthologie « Vampire malgré lui »
Petit entretien autour d’une pinte de sang avec notre auteur
Pouvez-vous rapidement vous présenter pour nos lecteur.ices ?
Lydie Blaizot, 49 ans, auteure de SFFF et polar. J’aime le dessin, la 3D, et j’essaie de concilier tout ça !
Quand avez-vous été mordu par le virus de l’écriture ?
En 2008, durant une longue maladie. Je m’ennuyais, et c’est mon mari qui m’a poussée à écrire.
Pourquoi avoir fait le choix d’écrire un roman avec pour thème central les vampires ?
J’aimais beaucoup l’idée de ces créatures presque immortelles, qui possèdent à la fois de grands pouvoirs et de terribles limitations.
Les auteur.es sont aussi souvent de grands lecteur.ices, est-ce votre cas ? Et si oui, quelles sont vos lectures de prédilection ?
Oui. J’aime lire les mêmes genres que ceux que j’écris.
Où puisez-vous toutes ces idées ? D’où vient l’inspiration ?
Elles jaillissent de nulle part, tel un bouchon de champagne, souvent au moment où je n’ai rien pour les noter (en faisant la vaisselle, mon footing…). J’essaie de les mémoriser pour ensuite les coucher sur papier.
Pouvez-vous nous parler de « Nuits ensorcelées » ?
Il s’agit de la seconde aventure des Trois mousquetaires, mes personnages fétiches. J’ai attendu dix ans pour les retrouver et ce fut tellement savoureux que je ne pense pas attendre aussi longtemps avant d’écrire une troisième aventure.
Avez-vous des conseils à donner aux gens qui souhaitent se faire publier ?
Ne jamais désespérer, ne pas se laisser décourager par les refus, penser à bien cibler les bons éditeurs (il y a toujours une ligne éditoriale à respecter).
Avez-vous déjà de nouveaux projets d’écriture ?
Je viens de terminer un roman policier et je continue à écrire pour Doors, plateforme numérique, où je publie Les enquêtes d’Etsy Westbrooke, du cosy mystery. J’adore !
Pour finir, un roman à conseiller à nos lecteur.ices ?
L’histoire sans fin. Il n’est plus tout jeune, mais il reste très important à mes yeux.
Merci pour vos réponses !